Archives : Auteurs
Liste des auteurs présents dans notre catalogue
Ange Esposito
Daniel Morin
Philippe Galas
Chef du restaurant La Chevalerie à Malaucène.
Photo Ange Esposito.
L’interview France-Bleu Vaucluse du 24/11/2019.
Philippe VANNEY
Professeur de langue et civilisation françaises à l’Université Dokkyo (Japon). Ses recherches portent sur les écrits politiques et journalistiques de Camus.
A participé :
– à l’édition des Œuvres complètes de Camus dans la Pléiade, Paris, Gallimard, 2006-2008 ;
– au Dictionnaire Albert Camus, Jeanyves Guérin, dir., Paris, Robert Laffont, 2009 ;
– et au Cahier de L’Herne no 103 consacré à Camus, 2013.
Directeur de la Série Camus à la Revue des Lettres Modernes Minard et membre du comité de rédaction de la revue japonaise Études camusiennes.
Heinz Robert SCHLETTE
Heinz Robert Schlette est docteur en philosophie, docteur en théologie — les deux à l’université de Munich. Il est titulaire d’une habilitation en philosophie à l’université de Sarrebruck et professeur émérite de philosophie à l’université de Bonn.
Il a publié :
– Das Eine une das Andere. Studien zur Problematik des Negativen in der Metaphysik Plotins, München, Max Hüber, 1966 ;
– Albert Camus : Welt und Revolte, Freiburg/München, Alber, 1980 ;
– Weltseele, Geschichte und Hermeneutik, Frankfurt, Knecht, 1993 ;
– « Der Sinn der Geschiche von Morgen », Albert Camus Hoffnung, 1995 ;
– Erkennis und Erinnerung. Albert Camus Pest-Chronik. Interpretation und Aktualität, Bonn, Djre, 1998 ;
– « Rejoindre les Grecs. Griechen und Christen bei Albert Camus », Jahrbuch für Antike und Christentum, 42, 1999, p. 5-19 ;
– « À propos du “suicide philosophique” chez Camus », in Guy Basset et Hubert Faes (éd.), Camus. Le philosophe et le christianisme, Paris, Cerf, 2012.
Anne PROUTEAU
Maître de conférences en littérature française à l’Université catholique de l’Ouest, à Angers. Sa recherche porte sur la littérature contemporaine, en particulier sur le corpus camusien, sur lequel elle a écrit une dizaine d’articles. Elle a publié sa thèse sous le titre Albert Camus ou le présent impérissable, avec une postface de Paul Viallaneix (Paris, Orizons, Universités/Domaine Littéraire, 2008). Elle a participé au Dictionnaire Camus (Paris, Robert Laffont, 2009) et au Cahier de L’Herne consacré à Camus (2013). Elle a fait paraître, en collaboration avec Agnès Spiquel, Lire les Carnets d’Albert Camus (Villeneuve-d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2012). Au printemps 2015, elle a publié Camus l’artiste, aux Presses universitaires de Rennes, en collaboration avec Sophie Bastien et Agnès Spiquel. S’intéressant également aux auteurs francophones, elle vient d’éditer, avec Béatrice Bouvier, Tissages littéraires franco-chinois (Paris, Riveneuve, 2016).
Pierre-Olivier MONTEIL
Docteur en philosophie politique (EHESS) et diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, Pierre-Olivier Monteil est chercheur associé au Fonds Ricœur, où il mène une réflexion sur la pensée politique de Paul Ricœur.
À l’université Paris-Dauphine et à l’ESCP Europe, il assure un enseignement en éthique du management et des métiers d’accompagnement, en articulation avec l’éthique du vivre-ensemble.
Il intervient dans ces mêmes domaines en tant que formateur et consultant, en entreprise et en institution.
Précédemment, Pierre-Olivier Monteil a été rédacteur en chef de la revue Autres Temps. Cahiers d’éthique sociale et politique de 1991 à 2003, parallèlement à ses activités de cadre supérieur en entreprise.
Outre une centaine d’articles dans des revues scientifiques ou généralistes, il a publié une dizaine d’ouvrages, parmi lesquels :
- Portrait du zappeur. Sens et contresens de l’individualisme contemporain, Genève, Labor et Fides, 1994 ;
- La Grâce et le désordre. Entretiens sur le protestantisme et la modernité, Avec J. Baubérot, J.-P Willaime, M. Gauchet, M. Augé, O. Mongin, O. Abel, P. Bühler et P. Gisel, Genève, Labor et Fides, 1998 ;
- Abécédaire du bien commun, Paris, Îlots de résistance, 2012 ;
- Ricœur politique, Rennes, PUR, 2013 ;
- Reprendre confiance, Paris, Bourin, 2014 ;
- Éthique et philosophie du management, Toulouse, Érès, 2016 ;
- Macron par Ricœur ; le philosohe et le politique, Paris, Lemieux, 2017.
Il est l’éditeur scientifique d’un recueil de textes politiques de Paul Ricœur, Politique, économie et société, à paraître en 2019 (Seuil).
Lou MARIN
Lou Marin (nom de plume) faisait partie du réseau des groupes d’actions directes et non violentes en Allemagne autour de la revue Graswurzelrevolution – pour une société non violente et sans domination, un courant anarchiste non violent. Il a milité au mouvement antinucléaire, antimilitariste et antiraciste. En 2001, il s’installe à Marseille et devient membre du CIRA de Marseille (Centre international de recherches sur l’anarchisme). Il conduit jusqu’à nos jours des recherches sur les liens de Camus avec les libertaires.
Publications sur Camus et les libertaires en français, en allemand et en espagnol.
– Albert Camus, Écrits libertaires (1948-1960), Montpellier, Indigène, 2016, 4e édition (1re édition : Marseille, Égrégores, 2008) ;
– Camus et sa critique libertaire de la violence, Montpellier, Indigène, 2011, 3e édition (1re édition : 2010) ;
– « La réception de l’œuvre de Camus par les anarchistes dans les pays anglophones et germanophones », in Le Don de la Liberté. Les relations d’Albert Camus avec les libertaires, Lourmarin, RMAC, 2009, p. 45-63 ;
– « Camus n’est pas un réformiste ! », Le Point, hors-série Les Maîtres-penseurs : « Albert Camus. La revanche », no 15, oct-nov. 2013, p. 18-19 ;
– « Onfray contre les libertaires. Michel Onfray contre l’historiographie anarchiste dans son livre sur Albert Camus », Le Monde libertaire, no 1658, 2-8 février 2012, p. 15-17.
Marylin MAESO
Marylin Maeso, normalienne, égrégée de philosophie, est professeure de philosophie au lycée Voltaire d’Orléans, autrice des Conspirateurs du silence (Paris, L’Observatoire, 2018), et prépare actuellement un livre sur la banalité de l’inhumain qui prend pour cadre d’analyse une relecture à rebours de La Peste.
Publications :
– « Réformer le peuple français : la création du citoyen révolutionnaire et le rôle des institutions dans les œuvres de Saint-Just », La Révolution française 6 | 2014, URL : <http://lrf.revues.org/1093> ;
– « Ni belle âme, ni bourreau. Un débat philosophique sur la violence entre Camus et Merleau-Ponty », in Giuseppe Bianco et Frédéric Fruteau de Laclos (dir.), L’angle mort des années 1950 : philosophie et sciences humaines en France, Paris, Publications de la Sorbonne, 2016 ;
– « La tendre indifférence du monde », La Vie des idées, 19 février 2015, URL : <http://www.laviedesidees.fr/La-tendre-indifference-du-monde.html>.
– « Violence et politique », in RMAC, De l’ombre vers le soleil ; Albert Camus face à la violence, La Roque-Alric, Les Offray, 2019.